Texte libre

Je vous fais le récit de mes expériences, elles sont pour la plupart réelles, seuls les noms ont été changé pour des raisons que vous comprendrez.

J'ai décidé d'écrire mes histoires pour montrer que les jeunes femmes n'ont plus à avoir honte d'aimer le sexe, car malgré ce que les mecs peuvent dire, nous aussi aimons le sexe, et j'ai envie que cela se sache!

Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 00:00

Comment raconter cette nouvelle aventure?

 

Et bien, je pense comme toutes les autres, en commençant par le début!

 

Ca faisait déjà un certain temps que j'étais avec mon copain, d'ailleurs ce n'était plus un simple copain car on vivait à présent ensemble et cela depuis trois mois.

 

De ce fait je connaissais à peu près tous ses amis de près ou de loin pour les avoir tous vus à notre pendaison de crémaillère.

 

Mais un soir, Erwan reçu un coup de téléphone très tardif, il décrocha et entama une conversation qui dura bien trois quart d'heure rythmée de rire et de nostalgie et se finit par le rituel, ben tu n'as qu'à passer à la maison je te présenterais Mel.

 

Bien sur, ils se mirent d'accord pour un dîner le lendemain soir.

 

Enfin raccroché, je demandais donc des explications et qui venait dîner demain soir.

 

Il me raconta alors que c'était une vieille connaissance d'école et des cours de solfèges alors qu'ils n'avaient que 13 ans, et que c’était l'un de ces plus vieux copains. Je lui demandai alors pourquoi je ne le connaissais pas encore et il eut comme réponse: car après son bac il est parti faire des missions humanitaires en Asie; et qu'il était seulement de passage quelques jours en France pour venir signer sa nouvelle mission.

 

Le soir venu, Erwan avait  minutieusement tout préparé,  ce qui me laissait le temps à moi de m'apprêter après ma semaine de travail, donc je pris un bain chaud, plein de mousse et de sels de bain pour enfin m'habiller et me maquiller.

 

J'étais à peine prête quand on sonna à la porte, Erwan encore occupait à la cuisine, je pris l'initiative d'aller ouvrir la porte.

 

A peine avais- je ouvert la porte, que je sentais mes jambes comme coulées dans du béton tellement j'étais submergée par ce mec; il faisait plus de deux mètres, des cheveux blonds qui lui arrivaient un peu juste au dessus des épaules et légèrement ondulés, les yeux vert- marron je n'arrivais pas à en définir la couleur et faisait près des 95kilos, tout en muscles, on aurait un véritable athlète suédois.

 

Il brisa le silence le premier:

 

- Melissa je suppose, François.

 

Et sur ce il me fit les quatre bises, et c'est à ce moment là que je sentis une odeur iodée et marine.

 

Je le fis entrer,  il n'attendit même pas que je lui propose de se débarrasser de son blouson qu'il était déjà en train de le jeter sur le canapé et se mit à appeler Erwan dans toutes les pièces jusqu'à le retrouver dans la cuisine où ils tombèrent dans les bras l'un de l'autre comme deux frères qui ne s'étaient vu depuis longtemps.

 

Une fois remis de leurs émotions, François faisait comme chez lui, il nous servit de grands verres de rhum au bar et nous les donna dans la cuisine où il s'assit sur une des chaises; comme la cuisine semblait petite avec lui dedans, on aurait dit un géant dans une maison de poupée.

 

Après le troisième verre de rhum nous passions enfin à table. On aurait dit que j'étais une étrangère dans ma maison car ni l'un ni l'autre ne me prêtait intention, ils se contentaient de se remémorer des vieux souvenirs de bêtises qu'ils avaient fait à deux ou des filles avec lesquelles ils étaient sortis, donc pendant ce temps je me contentais de manger mais toujours fasciner par les yeux et les mains de François et surtout ses pectoraux qui se dessinaient  sous un pull assez fluide qui laissait deviner sa musculature.

 

J'étais donc en pleine contemplation quand j'entendis:

 

- Mais au fait vieux frères, tu avais omis de me dire que ta copine était si charmante!

 

Erwan eut pour seule réponse: pourquoi tu t'attendais que la femme de ma vie soit un thon? Et en prime au lit je ne te raconte pas.

 

A ce moment j'étais partagée entre deux sentiments: la colère car ils parlaient de moi l'un et l'autre comme si j'étais sortie de la pièce et flattée, car on avait quand même remarqué que j'étais là!

 

Mais à ce moment là, c'est  la colère qui l'emporta et j’envoyai un coup de pied sous la table dans le tibia d'Erwan, la dernière remarque sur mes capacités au lit avait était de trop dans cette conversation.

 

Au cri de mon cher et tendre, François se moqua de lui en ajoutant, et elle ne manque pas de caractère non plus!

 

Et là je pris le relais car j'en avais marre de passer pour la femme invisible:

 

- Et oui elle a du caractère et en plus elle n'aime pas être ignorer la dame, ta mère ne t’a jamais dit que c'est très mal poli de parler des gens comme s'ils n'étaient pas là?

 

Sur ce, je me levai et commençai à débarrasser la table.

 

Mais apparemment cela n'affecta pas vraiment les deux compères car à peine levée, j'entendis: " t'as raison ça doit être une tigresse au pieu".

 

Mais cette fois ci, je ne pris même pas la peine de riposter car après le rhum et le vin, ça ne servait à rien d'essayer de les raisonner.

 

Je prétextai avoir eu une longue journée pour m'esquiver et aller me coucher, ils voulurent me retenir pour parler un peu et François s'excusa de sa trivialité, mais je décidai tout de même d'aller me coucher.

 

Je commençai donc à me démaquiller et me déshabiller quand j'entendis monter les escaliers et la porte de la salle de bain contiguë à ma chambre s'ouvrir et entendre l'eau couler, et peu de temps après Erwan me rejoignit dans la chambre m'expliquant que François aller rester cette nuit car il était trop tard pour qu'il rentre chez lui, et qu'il l'avait autorisé à prendre une douche, puis il descendit pour préparer le lit de son ami.

 

Je n'étais pas vraiment contente qu'il reste cette nuit mais bon c'était son ami, et tout en étant dans mes pensées, je finissais de me déshabiller quand je vis le reflet de François dans mon miroir, je sursautai, pris rapidement un vieux T- shirt avec lequel je dormais habituellement, mais ma surprise fut à son comble quand je me retournai et que je vis qu'il était nu comme un ver et ruisselant de gouttes d'eau, avec en prime une jolie érection.

 

Je lui demandai alors si le spectacle lui avait plu, il me répondit instantanément qu'il fallait être aveugle pour ne pas qu'un tel spectacle plaise.

 

Je lui adressai alors un rire narquois et lui demandai ce qu'il faisait dans ma chambre, et ce sans même avoir frapper à la porte.

 

-"Je voulais juste avoir une serviette de bain car Erwan apparemment ne m'en a pas laissée."

 

Je pris alors une serviette de bain dans l’armoire et lui balança, il ne prit même pas la peine de l'enrouler autour de lui, il l'a prit et se contenta de retourner dans la salle de bain pour finir de s'essuyer.

 

Une fois seule, je fermai à clé la porte communicante de la salle de bain à ma chambre, éteignis les lumière et me mis au lit, mais une fois François redescendu en bas, les deux amis n'avaient pas l'air de vouloir se coucher au bruit qu'ils faisaient, ce qui m'empêchait de dormir, ils riaient très fort et j'entendis même les verres s'entrechoqués, et je me demandai dans quel état Erwan aller venir se coucher. Je pensais donc au lendemain difficile qu'on allait passer quand quelqu'un monta les escaliers pour entrer dans la chambre qui était plongée dans le noir absolu donc j'en concluais qu'ils avaient enfin décidé de se coucher, et je sentis Erwan se glisser dans le lit, étant de dos je ne voyais rien, mais je sentis une lourde masse s'effondrer dans le lit, un bras m'enlaça, puis me caressa le dos, puis descendit sur mes fesses, je reconnaissais ces gestes, qui étaient les prémisses de préliminaires mais c'était pas vraiment la soirée, donc je fis comprendre à Erwan en dégageant son bras que je n'étais pas disposée à jouer ce soir.

 

Mais en dégageant le bras, j'eus une sensation bizarre, ce bras m'était inconnu, sa main était plus rugueuse, les poils plus drus et surtout un avant bras bien plus musclé que d'habitude, donc je me redressai et allumai la lampe de chevet, j'avais raison, ce n'était pas Erwan qui se trouvait à mes côtés mais François, il était hilare, bourré et nu!

 

Je lui hurlai de sortir de mon lit en appelant Erwan, quand François me déclara doucement d'une voix qui se voulait rassurante: "mais ne t'inquiètes pas, il est en bas, on faisait toujours ça avant."

 

Très rassurant en effet!

 

Je ne savais pas ce qu'ils faisaient avant avec les autres filles mais avec moi, il n'en était pas question et je lui fis comprendre en le battant avec mon oreiller et lui disant qu'avec moi il pouvait aller se faire voir, mais a ce moment là il sortit du lit et j'aperçus qu'il était en pleine érection, elle n'avait rien avoir avec celle que j'avais vu une heure auparavant, il était aussi bien monté qu'Erwan, j'ai toujours eu un petit faible pour les grosses queues, donc sa vue eut l'effet de me faire taire, et étonné de mon soudain silence François se demanda ce qu'il se passait, puis remarquant que je bloquais sur son membre,il sourit et se mit à caresser ses testicules et remonta doucement sa verge pour finir son geste au gland qui rougissait sous le pincement de son propriétaire, et là il me dit:

 

- "Erwan ne m'avait pas menti, tu aimes bien les grosses bites hein? Tu arriveras à résister à celles- ci ?"

 

A ces mots il reprit ses caresses qui se faisaient plus insistantes sur la verge et il finit par se branler devant moi sans pudeur, il me regardait droit dans les yeux pour guetter la moindre faille.

 

Ces gestes s'étaient intensifiés au point qu'une goutte de sperme perlait au bout de son gland, je voulus appeler de nouveau Erwan qui ne semblait pas presser de venir voir ce qu'il se passait, quand il me mit un doigt devant la bouche pour me faire taire, surprise par ce geste, je levai les yeux vers lui pour savoir pourquoi il avait fait ça, et je vis qu'il était encore en train de sourire et à ce moment là il approcha son gland de mes lèvres et me déclarant: " tu ne vas quand même pas laisser me finir seul, hein!"

 

Et il caressa délicatement mes lèvres avec son bâton magique, son gland malgré sa grosseur était si doux que je ne pus résister à ouvrir ma bouche pour engloutir son gland tout d'abord puis son membre entier pour finir.

 

Il me regarda faire toujours en souriant, qu'est ce qu'il est énervant ce type!!! Il ponctuait chaque coup de langue autour de son gland et de ses couilles à présent durcies par l'excitation d'un " Erwan a de la chance d'avoir une suceuse pareille à domicile".

  

Par melissa - Publié dans : et si on jouait
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