Texte libre

Je vous fais le récit de mes expériences, elles sont pour la plupart réelles, seuls les noms ont été changé pour des raisons que vous comprendrez.

J'ai décidé d'écrire mes histoires pour montrer que les jeunes femmes n'ont plus à avoir honte d'aimer le sexe, car malgré ce que les mecs peuvent dire, nous aussi aimons le sexe, et j'ai envie que cela se sache!

Vendredi 12 mai 5 12 /05 /Mai 15:11

Après une journée harassante et tout bonnement une semaine éreintante, je demandai grâce et j'étais plus qu'heureuse d'être vendredi soir, à tel point que je me suis surprise à chanter l'espèce de daube de Lorie, vous savez: "c'est le Week-end super c'est le Week-end....". Je sais pathétique!

 

 

 

 

 

Je ne souhaitais alors qu'une seule chose, me faire dorloter tout le Week-end par mon amoureux où la seule entorse que j'aurais faite, cela aurait été pour aller manger ou faire les courses.

 

 

 Mais quand je suis rentrée enfin chez moi et allumai mon portable, je reçus un message qui me disait:

 

 

 " Bébé, c'est moi, je suis désolé mais je vais finir tard ce soir, mais t'inquiètes pas je me ferais pardonner. Bisous."

 

 

 Bref mon Week-end câlin s'annonçait mal. Je ne pris même pas la peine de le rappeler pour plus d'explication, car comme toutes les fins de semaine j'étais tellement claquée qu'un bain aux huiles essentielles et sels de bains s’imposait. Donc je fis couler l'eau et éteignis la lumière pour laisser les bougies faire leur oeuvre et mis la seule musique qui pouvait me rendre un tant soit peu figure humaine: du zouk.

 

 

 Près d'une heure après, je me sentais toujours fatiguée, mais j'étais calme et détendue. J’enfilais mon peignoir de bain en soie chinois quand une voix rauque s'éleva derrière moi.

 

 

 - "Je suis sur que tu pensais à moi!"

 

 

 Au son de la voix, je me mis à sursauter et crier de surprise avant de reconnaître qui c'était.

 

 

 Qui d'autre trouvait un malin plaisir à me surprendre à des moments tout à fait incongrus? François bien sur!

 

 

 -" Putain tu m'as fait une de ces peur" Dis- je en me tenant encore le coeur.

 

 

 -" Je vois ça."

 

 

 -"Tu viens de foutre en l'air une heure de relaxation."

 

 

 Puis retrouvant le sourire, je m'approchai pour lui dire bonjour. Mais alors que moi je l'embrassai amicalement sur les joues, il parut surpris et me dit:

 

 

 - " Voyons Mel, tu vas pas me dire que tu m'as oublié à ce point là, tu peux mieux faire quand même!"

 

 

 Là dessus, il me pris par la taille et il m'embrassa langoureusement. Puis il me sourit en me déclarant que c'était mieux.

 

 

 Encore assommée par ce baiser et aussi un peu gênée car j'avais toujours les réflexes d'une femme exclusivement réservée à un seul homme, mais je ne lui montrai pas.

 

 

 C'est alors que je m'aperçus qu'il portait encore son blouson et un jeu de clés en main. Ce n'étaient ni les miennes, ni celles d'Erwan, donc je me décidai à lui demander comment il était rentré.

 

 

 -" Je suis passé au bureau d'Erwan et j'ai fait un double de ses clés."

 

 

 -" rien que ça! Ça va tu t'installes!"

 

 

 Il sourit et me répondit que c'était ça en quelque sorte.

 

 

 J'apercevais son regard taquin, mais aussi la profondeur de ses yeux bleus presque transparent, ces même yeux qui avaient le don de me faire fondre et de me mettre à ses genoux s'il le voulait, mais ça heureusement, il ne l'avait pas encore découvert!

 

 

 Il me sortit de mes rêveries en me redemandant si j'avais pensé à lui depuis son départ. Voulant garder un minimum le dessus sur cet homme toujours aussi bien foutu et sur de lui, je lui répondis que non, et que je n'avais pas que ça à faire de penser à un mec imbu de lui-même et toujours aussi mal- poli. Me lançant une fois de plus son sourire ravageur, il me déclara que depuis ma connaissance, il n'avait couché avec personne d'autre et que pourtant les Africaines l'avaient pourchassé, que les autres lui paraissaient fades et sans personnalité à côté de moi.

 

 

 -" wouah, j'en suis très flattée, mais je ne suis même pas la plus jolie ?", lui dis- je en souriant.

 

 

 Il éclata de rire et me dit que c'était cela qui lui avait manqué et là il me porta à bout de bras comme une plume et m'embrassa longuement.

 

 

 Une fois retourner au salon, on s'installa sur le canapé, il nous concocta un cocktail au rhum et nous en servit un verre.

 

 

 Nous discutâmes des causes de son retour imprévu qui malheureusement était dû à un évènement triste qui était l'enterrement d'une de ses tantes; de la durée de son séjour en France. Par contre il était apparemment inutile de lui demander où il allait dormir. Tout à notre discussion il ne cessa de me caresser les chevilles et les jambes qui étaient accessibles car mon peignoir ne présentait aucun obstacle à ce genre d'attouchement, bien au contraire et je remarquai qu'à mesure où le temps passait, que sa main remontait le long de mes jambes et que François s'enhardissait ne voyant aucune objection de ma part. Puis sans m'en rendre compte, un silence s'était installé, François me fixait, bien sur ne voulant pas lui montrer ma gène, je soutins son regard, puis il posa son verre, prit le mien qu'il posa aussi sur la table basse, puis s'approcha de moi et m'embrassa, tout d'abord sur la bouche, sa langue avait le goût du rhum bien sur mais aussi de la mangue et de l'ananas, j'aurais voulu que ce baiser s'éternise mais déjà il s'intéressa aux lobes de mes oreilles, puis mon cou pendant qu'une de ses main chercher le chemin entre mes cuisses, à ce moment je ressentais déjà cette impression de flottement qui était le signe que je n'étais pas du tout indifférent à cet assaut. Mais mes réflexes primaires, cette fois reprirent le dessus et je l'arrêtai en le repoussant en lui disant qu'il fallait peut- être attendre Erwan. Il me gratifia de son sourire moqueur que je commençais à apprécier de plus en plus tant il faisait ressortir ses fossettes, pour finir par me dire:

 

 

 -"A ton avis pourquoi il rentre tard ce soir ?"

 

 

 

 

 

Je compris alors que tout avait était prévu entre les deux compères et que rien ne m'avait été dit ni demandé. Donc de colère et d'irritation, j'envoyai un coup de pied dans les abdos François (je les avais vu donc je savais qu'il pourrait aisément l'encaisser, j'espérais au moins lui faire un peu mal!)

 

 

-" Bande d'enfoirés! Et vous avez combinez ça depuis longtemps ?"

 

 

-" Oh, juste une semaine. Mais au fait comment ça se fait que tu ne lis jamais les mails d'Erwan? Tu l'aurais su!"

 

 

-"Peut- être parce que j'ai un certain respect pour son intimité, donc je ne lis ni son courrier, ni les mails et je ne fouilles pas dans ses affaires non plus!"

 

 

-"Ouais, ouais, il m'a parlé d'un truc comme ça, c'est pour ça qu'il m'a dit que a surprise serait bien gardée par mail. Enfin bref, Erwan nous laisse un peu de temps pour que l'on fasse connaissance et d'après lui, tu as besoin de tête-à-tête pour être intime avec les gens donc voila."

 

 

Devant une telle machination, je me sentis trahie par Erwan mais en même temps, s'ils voulaient vraiment que leur ménage à trois fonctionne, ils n'avaient pas tort. Mais ça je me garderais bien de leur dire: contrariété féminine!

 

 

Maintenant que je connaissais le plan de soirée, le charme de la soirée était un peu rompu et le fis remarquer mais ses yeux avaient gardé ce pétillement qui signifiait: Attends cocotte j'ai pas dit mon dernier mot. Mais il se contenta de me dire que puisqu'on était là pour faire connaissance, qu'on fasse connaissance, et il commença à me raconter sa vie mais bien sur à sa façon, dans l'humour et l'ironie et dérision. Il aborda bien sur la rencontre d'Erwan, leur première fille à deux et leur pacte de se partager leurs copines plutôt que se déchirer pour l'une d'elles, mais comme il le disait, le hasard faisait qu'ils tombaient toujours amoureux de la copine de l'autre. De ce fait il s avaient réussi à bannir toute jalousie entre eux.

 

 

 Je lui demandai alors, ce qui garantissait à la fille qu'ils n'iraient pas voir d'autres filles car si on est à trois, on peut aisément être plus. Il me regarda droit dans les yeux et me demanda si avant son arrivée j'avais déjà douté d'Erwan? Je lui répondis que non et rétorqua que pour lui c'était la même chose et ce pour la même raison d'Erwan, on est amoureux!

 

 

 La dessus, la grande gueule que je suis n'eut rien à répondre et voyant qu'il avait réussi à me faire taire, il s'approcha, m'embrassa et osa ouvrir mon peignoir, je voulus résister mais y ait renoncer quand j'ai vu le ses yeux posaient sur moi, changer d'expression, il avait l'air d'un ado qui voit nu une fille pour la première fois et là je le voyais hésitant, il était allongé à mon côté, puis de son indexe me caressa le ventre en commençant par mon nombril pour remonter entre mes seins, et délicatement effleura le galbe de mes seins, rien que sentir ses mains posaient sur mon corps, je ressentais une légèreté, puis il m'embrassa et à nouveau je flottai.

 

 

 

 

 Nous n'étions plus sur un canapé mais en apesanteur, je ne sentais que le mouvement de sa langue enlaçant la mienne et sa main se promenant quand je m'habituais à cet agréable sensation de flottement de nos corps, un frisson me parcourut, François d'une main experte était en territoire intime, et le plus sensible du moment. A peine avait-il investi ce territoire de désir, je me mettais déjà à gémir de plaisir, j'en redemandai. Comme connecter à mon désir, François commença une lente descente, commença par mes seins, mordillant mes tétons, me léchant le nombril pour effleurer du bout de la langue mon clitoris, une décharge me parcourut puis lentement mais de toute sa langue il joua avec mon clitoris, je gémissais, je sentais tout mon corps tendu comme un arc, prête à jouir.

 

 

 

Oui je voulais qu'il me fasse jouir, et lui demandai à haute voix, il ne me répondit pas mais alors que sa langue fouillait le moindre recoin de mon intimité, il fit pénétrer un doigt dans ma fente et cela sans cesser de me suçoter mon bouton magique, à ce moment je ne gémissais plus, je fis silence, je voulais ressentir en moi, l'orgasme m'investir peu à peu, il monta de mon ventre pour se loger dans mon vagin,puis il exposa en moi, je ne pouvais le contenir, cela me fit crier de plaisir, ensuite des milliers de petites décharges électriques s'empara de mon corps, je ne pouvais m'empêcher de trembler, pendant cette phase François ne voulant pas laisser retomber l'orgasme se hâta de se déshabiller et me pénétra lentement.

 

 

 

Un lourd soupir lui échappa. Il marqua une pause et m'embrassa, puis il se mit à onduler son bassin. Je le sentais a plus profond de moi, mon vagin déjà très étroit par mon orgasme se rétracta encore sur son membre dur comme s'il voulait l'avaler, puis des soupirs s'éleva et se transformèrent en gémissement, et comme une voix d'outre-tombe, gothurale, il me dit:

 

 

 -"Ma puce, je ne t'entends plus, ça va ?"

 

 

Encore une marque d'ironie. J'avais les yeux fermés et réprimais les cris qui voulaient sortir de moi mais à ses paroles, je lâchai la pression, et repris de plus belle mes gémissements, en les entendant François accéléra les mouvements de son bassin en me disant qu'il voulait m'entendre jouir, m'entendre crier.

 

 

 Il n'eût pas longtemps à entendre, à la seconde ondulation, tout mon corps se contracta imitant mon vagin, et se bloqua, me coupant la respiration, ne laissant échapper qu'un cri aigue et comme si François n'attendait que ça, il s'immobilisa et en silence, me regarda,pour s'affaler enfin sur moi.

 

 

 Je sentis son membre encore battre en moi quand s'aperçus Erwan assis sur un fauteuil, il se branlait, son pénis déjà tendu et rosi à la main, voyant que je reprenais connaissance peu à peu, s'approcha de moi en me disant:

 

 

 

 

 

-              " Je vois que vous avez fait connaissance et que vous vous amusez bien."

 

 

-              Puis s'approcha de ma bouche, m'embrassa, s'accroupi, puis me fit comprendre qu'il fallait à présent s'occuper de lui. François qui était affalé sur moi m'empêchant tout mouvement s'allongea à côté de moi me libérant, je pris alors Erwan en bouche, François me caressant doucement la poitrine.

 

 

Erwan ne résista pas longtemps sous les assauts de ma langue.

 

 

Une fois que avions tous retrouver nos esprits, il était déjà tard et nous sommes tous trois montés nous couchés une fois de plus j'étais au milieu des deux garçons, me sentant la chose la plus précieuse à leurs yeux tellement ils étaient doux et attentionnés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par melissa - Publié dans : et si on jouait
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