Texte libre

Je vous fais le récit de mes expériences, elles sont pour la plupart réelles, seuls les noms ont été changé pour des raisons que vous comprendrez.

J'ai décidé d'écrire mes histoires pour montrer que les jeunes femmes n'ont plus à avoir honte d'aimer le sexe, car malgré ce que les mecs peuvent dire, nous aussi aimons le sexe, et j'ai envie que cela se sache!

Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 00:00

Ce qui va suivre, je le dédie à une personne à qui je l'ai promis et qui attend le moment venu.

 

Ca y est j'y suis, je suis dans le train pour Paris pour le rejoindre, pleins de trucs me passent par la tête, notamment ce qu'on allait bien pouvoir ce dire après tout ce temps.

 

On s'est connu sur un chat banal, alors que mon copain de l'époque travaillait tard la nuit et je ne savais pas quoi faire de mes soirées seules, nous avons commencé par des conversations anodines sur nos vies, nos activités, et on a gardé un contact permanent. Lui étant célibataire de longue date passait des caps d'abstinences difficiles qui me touchaient, alors très vite on commença à bâtir ensemble des scénarios coquins au cas où l'on se rencontrerait, tous cela se faisait par message seulement mais ça nous électrisait, au point même de nous exciter, c'était un jeu pour nous, au premier qui ne pourrait pas s'empêcher de se caresser.

 

Nous sommes restés à ce stade un moment, et cela jusqu'à ce que je sente sa frustration de ne pouvoir me voir, et moi aussi j'avais très envie qu'il me découvre enfin, bien sur je lui avait envoyé des photos mais cela ne détaillait pas mes courbes, alors je décidai d'accéder au cap suivant en faisant l'acquisition d'une Web Cam, et ce fut le commencement d'un jeu bien plus érotique, je n'oublierais jamais la sensation que son regard m'a procuré la première fois il a enfin découvert mes seins, ces seins qui ne sont pas énormes mais que lui les appréciait et c'était le principal, puis le jeu nous mena un peu plus loin au fur et à mesure du temps, car nous n'avions plus aucun complexe l'un envers l'autre, mais il restait l'excitation, rien que savoir que l'autre était dans un état d'excitation nous émoustillait encore plus et nous pousser à aller toujours plus loin et cela jusqu'au point ultime de se toucher l'un en regardant l'autre, je regardais cette personne qui avait follement envie de moi, se masturbait car elle pensait à moi, elle pensait à mon corps nu contre lui, et rien que le fait d'y penser me fait à l'heure actuelle encore de l'effet.

 

Mais aujourd'hui, c'est le jour J, nous allons enfin nous rencontrer, je vais à Paris pour le Week-end pour le voir lui et rien que lui, il m’a d'ailleurs réservé à cette occasion une chambre d'hôtel. Le train arrive sur le quai de la gare, et j'ai le coeur qui bat très fort, est- ce je vais le reconnaître tout de suite, à moins que lui me reconnaisse le premier car je suis plus facilement repérable de part mes origines, je prends alors mon sac et descends du train et il est là, c'est la première personne que je vois en descendant, et lui ne regarde que moi, il se fait bousculer par les parisiens pressés mais apparemment ça ne le dérange pas, il est là figé comme s'il ne pouvait plus bouger, je m'approche donc de lui et me mets sur la pointe des pieds pour l'embrasser car il est bien plus grand que moi et il retrouve ses esprits, mais il est surpris tout de même que je ne l'embrasse que sur les joues, après tout on ne se connaît pas vraiment! Mais il oublie vite et s'empresse de me prendre mon sac, je le savais très courtois et gentleman mais pas à ce point là. Il me conduit directement à l'hôtel pour y déposer  mes affaires afin qu'il puisse m'emmener dîner. Ce que nous fîmes sans attendre, l'hôtel n'était pas trop loin de la gare, et pour ne pas me brusquait je suppose, il préféra rester dans la voiture pendant que je me changeais, pour ne pas me montrer son empressement, ce que je compris, et appréciai, il était vraiment comme je l'avais imaginé, gentil, prévenant, timide aussi. Je me dépêchai d'aller le rejoindre, et il eu un nouveau temps de réaction lorsqu'il m'aperçu ressortir de l'hôtel vêtue d'une longue robe en velours pourpre. Je savais quel effet provoquer cette robe d'habitude mais je ne savais pas comment lui aller réagir, il me dévisagea un moment sans rien dire, et voyant qu'il ne disait plus rien, je commençai la première en lui demandant si c'était trop habillé, il réussit à me balbutier que non et que j'étais parfaite en rajoutant qu'il le savait déjà mais que je dépassais ses espérances, ce qui eut l'effet de me faire rougir autant que mon teint halé puisse me faire rougir.

 

Durant ce dîner, nous nous sommes débloqués et il ne cessa de me complimenter, sur ma robe, et moi tout entière, il finit par m'avouer que depuis la voiture il n'avait pas débandé et que cela lui était devenu douloureux et insupportable, j'essayai alors de mon coté pour le faire penser à autre chose  faire diversion en le faisant parler de son travail, de sa famille, et je suis arrivée à mes fins, je le sentis alors plus détendu, mais nous continuions nos jeux de séductions, on se cherchait, se titillait, se frôlait, pour enfin s'embrassait à la fin du repas, qui eu l'effet immédiat, et il me le fit sentir en me mettant la main sur son pantalon de le faire bander, c'était la première fois que je le touchais de cette façon, j'imaginais très bien son membre gonflé par l'excitation pour l'avoir vu plusieurs sur le net par la Web Cam, je la savais belle, grande et grosse, et je ne pus m'empêcher à se moment là de la lui caresser, il a gémis à cet effleurement, qui en me montant aux oreilles me provoqua un vertige, le même vertige que je ressentais à chaque fois qu'il me disait qu'il avait follement envie de moi et de me toucher, il a alors très vite régler la note, et nous sommes sortis très vite du restaurant, nous allions nous engouffrer dans la voiture quand il me plaqua sur la portière et se mit à m'embrasser sauvagement, je savais qu'il était aussi capable de ça dans les moments de pur excitation, ce qui eut le mérite de m'indiquer à quel point il avait envie de moi. Il relacha enfin son étreinte en m'expliquant qu'il en avait eu envie dés ma descente du train mais cela aurait été mal venu étant donné que moi je ne lui avais fait que les quatre bises amicales. Il m'ouvrit alors la portière, monta à son tour, et nous reprîmes notre étreinte passionnée, où je sentis ses mains grandes et douces parcourir mon corps, portant une robe, il se fraya donc un chemin par la seule entrée possible, par mes jambes, qu'il caressa délicatement, puis mes cuisses que j'avais entrouverte pour lui faciliter la tache, il ne fit que me frôler mon pubis pour passer sur mon ventre et remonter lentement vers mes seins puis entama le chemin inverse, et s'attardant plus longuement sur mon clitoris qu'il titilla à travers mon string de soie que j'avais acheté la veille pour l'occasion. Nous entendions les passants traverser la rue à côté de nous, et remarquions que ce n'était pas un endroit décent pour ce genre d’ébats, on se redressa donc, lui assit, le front sur le volant pour se calmer quelque peu, et moi me rajustant la robe. lorsqu'il fut suffisamment calmé, il démarra la voiture et me fit visiter un peu Paris, que je connaissais déjà quelque peu par des précédentes visites, puis me conduit à mon hôtel, une fois arrivée, je descendis de la voiture et me dirigeai vers la porte d'entrée où il me suivit mais s'arrêta à la porte, surprise je lui demandai pourquoi il venait pas avec moi, et sa réponse me fit sourire car me rappela à quel point il était galant et prévenant, il me répondit qu'une part je ne l'avais pas invité à me suivre et que d'autre part il ne voulait pas me forcer à faire quoi que se soit, pour seule réponse, je le pris par la main et le mena jusqu'à ma chambre. En entrant on se mit à l’aise car les vêtements que l'on portait étaient de circonstance pour sortir mais étaient loin d'être confortable à l'intérieur, alors j'enfilai la robe de chambre de l'hôtel et le rejoignis dans la chambre pour l'inviter sous ma douche, il hésita un bref instant puis se dirigea vers moi, m'embrassa, non plus avec empressement comme précédemment mais langoureusement, dénouant la robe de chambre pour découvrir les sous- vêtements qu'il n'avait fait que touché quelques temps auparavant, il me regarda alors avec des yeux rougis par le désir et me déclara que j'étais vraiment belle, qu'il me voulait, que je le rendais fou, et qu'il ne pouvait plus tenir, je le déshabillai alors à mon tour en commençant par sa chemise pour sentir sa peau que j'embrassai dans le cou, il sentait bon, je ne saurais décrire ce parfum mais il était chaud et suave, pendant ce temps il me caressait le dos, il savait de par nos longues discutions quel effet cela avait sur moi donc il remonta vers ma nuque et provoqua par ces gestes tendres un nouveau vertige qui me fis me blottir dans ses bras nus, fermes, travaillés par la musculation, j'entrepris alors de lui dégrafer son pantalon et je pouvais déjà entrevoir sa queue, elle était tendue à son maximum et un rien pouvait provoquer son éjaculation mais je m'en moquais, je voulais la goûtée, la sentir, oui la sentir frétillée de plaisir dans ma bouche.

 

 

 Alors je me mis à genoux et je commençai par un léger coup de langue sur son gland pour l'humidifier un peu c'est alors je l'entendis gémir, râler, je pouvais ressentir sa tension car sa verge était entièrement dans ma bouche, se sentant au bord de l'extrême plaisir il me souleva et me jeta sur le lit, me léchant doucement les pieds pour remonter jusqu'à mon entre- cuisse toujours couvert par mon string qu'il retira avec une extrême précaution et ferma les yeux en découvrant pour la fois ma fente humide qu'il se mit à embrasser tout d'abord puis lécher par de léger coup de langue ensuite.

 

 

 Il savait comment  il me ferait jouir car nous nous sommes racontés mille fois cette scène et je sentis par le mouvement de sa langue qu'il voulait que je jouisse là sous sa langue, et je sais de mon côté de c'était ce qui l'exciter lui, mais le plaisir qu'il me procurait en me dévorant maintenant avidement ma chatte me força  à le reprendre lui en bouche, je voulais étouffer mes cris avec sa queue dans ma bouche, c'était devenue une nécessité, je m'allongeai alors le long de son corps, lui continuant consciencieusement de me conduire au 7e ciel et moi lui gobant son gland pour l'enfourner entier dans ma gorge, les gémissements de l'un et de l'autre nous conduisit comme devant nos ordinateurs à l'orgasme et où je sentis mon vagin se contracter sous sa langue, et son membre se décontracter enfin dans ma bouche après y avoir déverser sa semence qui me dégoulinait à la commissure des lèvres.

 

 

 

 

Par melissa - Publié dans : et si on jouait
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus