Texte libre

Je vous fais le récit de mes expériences, elles sont pour la plupart réelles, seuls les noms ont été changé pour des raisons que vous comprendrez.

J'ai décidé d'écrire mes histoires pour montrer que les jeunes femmes n'ont plus à avoir honte d'aimer le sexe, car malgré ce que les mecs peuvent dire, nous aussi aimons le sexe, et j'ai envie que cela se sache!

Je vous raconte tout!

 Annonce: Les histoires d'une fille plus très sage
Samedi 15 octobre 6 15 /10 /Oct 00:00

Mes parents étant partis en vacances, ils me laissèrent l'appartement pour moi seule.

 

Alors qu'un soir je finissais par m'ennuyer sévèrement, je pris l'initiative d'appeler mon meilleur ami qui se trouve être un ex, le seul avec qui j'avais contact après la rupture, d'ailleurs notre relation s'en trouvait bien meilleur.

 

Il accepta mon invitation sans hésiter, en une heure il était chez moi.

 

Je lui servis à boire ainsi qu'à manger, nous étions tellement pris dans nos souvenir que l'on ne vit pas passer les heures, ni les verres, j'étais habituée avec lui des  ambiances très détendues car il n'existait plus de tabous entre nous.

 

Mes parents m'ayant confié leur chien, il se manifesta pour sa balade nocturne, mon compagnon de la soirée insista pour m'accompagner car d'après lui:" on ne sait quel cinglé peut se promener à cette heure". Je le laissai donc venir avec moi pour le rassurer. Nous reprîmes nos conservations quand un frisson me parcoura, bien que l'on était en été la fraîcheur de la nuit m'avait surprise, voyant que j'avais un peu froid "J" s'empressa de me réchauffer en me frictionnant le dos, mais ces gestes s'apparentaient plus à des caresses qu'à une volonté de me réchauffer, ce qui me surpris car même au temps où nous sortions ensemble, il n'avait jamais eu ces gestes avec moi, je ne manquai pas de lui faire remarquer.

 

En réponse, il me répondit qu’avec moi de toute façon il avait eu tout faux, et qu'il avait été en dessous de tout, et que s'il devait recommencer il ne referait pas les mêmes erreurs, j'étais ravie de l'entendre dire ces choses mais pour moi j'avais tourné la page depuis longtemps. Il me confia alors que j'avais de la chance car lui, n'avait pas tout à fait tourner cette page. Donc tout l'écoutant, ses caresses se firent de plus en plus entreprenantes, je le repoussai doucement pour ne pas le heurter, mais aussi car je sais que mon quartier est plein d'espion en herbe, et de commères qui ne demandent que ça d'avoir un sujet de discussion à la boulangerie le matin, donc ce n'était ni lieux, ni le moment.

 

Je lui fis donc remarquer que je ne pouvais pas le prendre au sérieux après les verres de rhums qu'on avait ingurgité.

 

Nous sommes donc rentrés, mais vu son état il aurait inconscient de le faire rentrer chez lui, je lui proposai donc de coucher sur place, et je l'installai dans ma chambre, tandis que moi je dormirais dans la chambre de mes parents.

 

J'avouerai que j'eus du mal à trouver le sommeil, la scène du mea culpa m'avait un peu troublé, je croyais que notre relation claire, sans place pour les ambiguïtés mais apparemment ce sentiment n'était pas partagé. Sur des pensées de peut-être un jour renouer avec un ex, je commençai à m'assoupir, lorsque j'entendis des bruits dans le couloir puis la porte de ma chambre s'ouvrir.

 

"J" prétexta qu'il faisait trop chaud dans ma chambre pour qu'il puisse trouver le sommeil, il demanda donc s'il pouvait me rejoindre en ami bien sur!

 

J'hésitai tout d'abord puis sous son insistance, je cédai, maintenant il était impensable que je puisse dormir avec lui tout à coté de moi, et apparemment lui non plus car il se mit à discuter, puis en est revenu à l'épisode de la promenade, il me confia alors que j'avais eu tort de mettre cela sur le compte de l'alcool car pour une fois il avait osé ce qu'il n'avait pas osé depuis très longtemps car il savait qu'il n'avait plus de droit sur moi après sa rupture.

 

Sur ces paroles il se mit à me caresser le bras tout d'abord en remonta sur l'épaule, puis voyant que cette fois ci je ne ripostai pas, il continua en redescendant vers mes seins qui étaient recouverte d'une nuisette de satin noir, il s'attarda sur mes tétons durcis qu'il sentit à travers le fin tissu puis continua sa descente le long de mon ventre pour enfin trouver une ouverture vers ma peau dénudée. Il ne tarda pas à la trouvée et me caressa lentement les jambes puis les cuisses et évitant soigneusement mon intimité, pendant ses caresses, il continua à parler mais sincèrement, je n'entendis plus rien, ma concentration était uniquement fixée sur ses caresses, il s'en rendit compta et se tut, puis roula sur moi et m'embrassa, ce baiser était long, doux et suave, plein d'attention, ce qui eut le don de me ramener à notre baiser, et le souvenir de mon tout premier vertige, que je ressentais encore cette nuit entre ses bras.

 

Puis il alluma la lampe de chevet en expliquant qu'il voulait me voir, il m'ôta alors le dernier rempart entre lui et ma peau, puis il me regarda en silence. Je m'aperçus qu'il devait attendre ce moment depuis très longtemps et que j'étais peut-être devenu même un fantasme pour lui, je pris alors les choses en main pour ne pas le décevoir mais aussi pour qu'il regrette le fait qu'il m'ait quitté autrefois, et que pour cela j'allais le mettre aux supplices.

 

Je renversai donc les positions pour avoir le dessus, puis avec un large sourire, je l'embrassai goulûment, je voulais qu'il ait envie de moi plus que jamais, donc mon baiser s'intensifia à en devenir vorace,puis j'entrepris de descendre sur son torse, ses tétons que je mordillais, puis je passai ma langue le long de son ventre jusqu'à son nombril que j'embrassai puis d'une main je pris son membre déjà en érection depuis un certain temps maintenant, de ce fait il était déjà tendu à son maximum, la tension était perceptible à la couleur violacée de son gland, mais ça ne m'arrêta pas, je l'embrassai tout d'abord le gland, puis la verge, pour ensuite la léchée de tout son long, son membre était une taille impressionnante donc je pris le temps de bien humidifier le gland en le suçant doucement pour enfin le prendre en entier dans ma bouche tout en le regardant dans les yeux, je remarquai alors que pour retenir ces gémissements il se pinçait les lèvres, mais moi je voulais l'entendre, je voulais qu'il me crie son désir de me posséder.

 Je lui tétai le gland comme pouvait le faire un nourrisson qui tête sa mère, je le suçai, le léchai de plus en plus rapidement pour qu'il me donne enfin ce que je voulais, il gémissait, haletait, respirait très fort, et me dit qu'il voulait jouir dans ma bouche, mais je choisis ce moment précis pour arrêter, avec un large sourire car j'avais obtenu ce que je voulais mais je voulais aussi en profiter, il le comprit et repris le dessus et me murmurant qu'il allait se venger de ma cruauté, mais je n'attendais que ça.

 

Il déposa alors sur ma bouche un baiser furtif, et fondit sur mes seins, où il déposa tout d'abord des baisers, puis lécha méthodiquement mes tétons pour finir par les mordillés doucement, il savait que j'aimais ça, cela avait le don de m'exciter, bien à ce moment précis c'était déjà fait, puis il s'intéressa enfin à mon intimité qu'il avait soigneusement évité auparavant, pour mieux s'en occuper à présent, il me connaissait, il savait ce qui pouvait me déchaîner, et s'exécuta, il me lécha tout doucement comme si c'était la chose la plus précieuse, puis se remémorant que j'aimais être légèrement malmenée, il prit mon clitoris et le pinça doucement entre ses lèvres, ce qui eut l'effet de me faire sortir un gémissement près du miaulement, puis il alterna, il me lécha en insistant sur mon vagin qui s'ouvrait pour accueillir son membre qu'à ce moment je désirai, avec les pincements.

 

Je ne pouvais plus tenir, ses caresses et ses coups de langues s'imprimaient dans ma chaire pour provoquer un début d'orgasme, les contractions de mon vagin me tétanisaient, ma respiration se fit courte, plus un son ne pouvait sortir, mais il s'arrêta là en me rendant mon sourire précédent.

 

Puis il sortit un préservatif d'où on ne sait où, s'en équipa puis je sentis son gland me caresser doucement l'entrée de mon vagin, pour qu'il l'accueille sans obstacle mais j'étais telle humide que je sentis mon vagin qui l'aspira et je le sentis s'engouffrait en moi pour y entrer entièrement, j'étais en train de réprimer mes gémissements pour mieux ressentir ses va et vient mais en entendant ses râles et ses gémissements mes sens se déchaînèrent à leur tour et mes cris rejoignirent ceux de mon partenaire, qui entendant l'effet que me procurait ses mouvements de bassin, intensifia la cadence, en passant d'un mouvement lent et lancinant à des mouvements plus rapide et saccadés jusqu'à un pilonnement, j'adorais ses changements de cadences, j'en voulais plus , je voulais qu'il me prenne,me pénètre, me possède. Et comme s'il lisait dans mes pensées il se fit plus sauvage encore, pour ne devenir qu'une chose entre ses bras, je fus à nouveau tétaniser mais cette fois ci, il continua encourager par mes cris qui c'étaient intensifiés au fur et mesure qu'il avait augmenté sa cadence, et je jouis, je sentis alors tout mon corps se contracter en se calquant sur les contractions de mon vagin, mais "J" n'en avait pas fini, et ne s'arrêta pas là, il s'agrippa alors à mon cou, et se déchaîna, je n'en pouvais plus et mes yeux voulaient lui demander grâce, il me fixa et continua et ce jusqu' à dans un ultime coup de rein, je le  sentis se raidir et se paralyser, il poussa un cri sauvage et se libéra en moi, puis s'écroula sur moi sans plus rien dire.

 

Nous étions tous deux assommés et courbaturés par notre ébat, et nous trouvions enfin le sommeil qui nous avait fait défaut qu'au petit matin.

 

 

Par melissa - Publié dans : et si on jouait
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